De la nuit à l’espoir
Combien il a fait nuit
Tout au long de ce jour
Que de ténèbres épaisses
Firmament obscurci.
Des tornades grondantes
Disent les frayeurs intimes
Et des tempêtes violentes
Parlent de douleurs secrètes.
Que de frissons d’effroi
Pour lendemains troublés
Quel profond désarroi
Assurance éclopée.
En allant me coucher
Je ne peux accepter
Cette défaite de ma foi
Aussi je crie à Toi.
Viendras-tu ô Seigneur
Au secours de mon coeur
Dis te souviendras-tu ?
De mon âme ô Jésus ?
J’ai tant besoin de Toi
De ta force et ta foi
Pour être relevée
Dans cette adversité.
Je tends les mains vers Dieu
Et je suis rassurée
Car je sais annoncé
Ton salut merveilleux.